On pense souvent que l’autisme est une déficience qui rend inapte, une dysfonction incapacitante et socialement gênante, avec d’étranges schémas langagiers ou corporels… Que celui qui en souffre, si on peut le dire ainsi, est enfermé dans son monde, dans une bulle fragile qu’on ne devrait pas même effleurer, de peur qu’éclate une colère sans retenue ou que se désarticule, avec effroi, l’inquiétant pantin solitaire.
Comments are closed.